Selon les données de 2016 à 2018, on estime qu’environ 280 décès, 14 cancers du poumon et 68 AVC par année seraient évités dans la partie suisse du Grand Genève si l’on réduisait la concentration en particules fines à son minimum, soit légèrement au-dessus du seuil désormais préconisé par l’OMS. Ce sont aussi 1,2 milliard de francs de coûts de santé qui pourraient être économisés pour le Canton.