Louise Trottet

conseillère municipale

Cette question s’adresse à Mme Barbey-Chappuis, magistrate en charge du Service Voirie – Ville propre au sujet de l’écopoint situé sur le bas de l’avenue Dumas, qui est utilisé avec beaucoup d’enthousiasme par les habitant-e-s de cette rue ainsi que celles et ceux habitant sur le plateau de Champel. Cet écopoint a été enlevé au début de l’été pour des raisons peu évidentes. Un panneau d’affichage mentionne une «suppression» dudit écopoint et renvoie à d’autres écopoints situés à la rue Maurice Barraud et à l’avenue Peschier, à savoir plusieurs centaines de mètres plus loin. A noter également que, parmi ces derniers, l’écopoint de l’avenue Peschier ne figure pas sur la carte numérisée des écopoints de la Ville de Genève.

Alors que les autorités cantonales prônent une augmentation du tri, notamment via la petite poubelle verte, et qu’il est notoire que de nombreux immeubles locatifs enfreignent l’article 21 du règlement sur la gestion des déchets (LC 21 911) en ne fournissant déjà pas intra muros des conteneurs pour déchets organiques, il faudrait au contraire une multiplication des endroits de tri.

Serait-il donc possible de comprendre un peu mieux la disparition de cet écopoint et de manière plus générale la stratégie des autorités municipales pour améliorer la couverture en points de tri des déchets (notamment organiques) à l’intérieur comme à l’extérieur des immeubles locatifs ?

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